Qui sommes nous?

Manon Lacroix, directrice du Centre Option-Prévention TVDS, sociologue, spécialisée en toxicomanies, en éducation (permis d’enseignement) et en relation d’aide de type cognitif et comportemental (incluant les techniques d’Impact et la thérapie de la réalité). Également intervenante en milieu carcéral auprès des détenus, hommes et femmes, en matière de prévention des ITSS et ITS, du tabagisme, de la toxicomanie (prévention de la rechute) et de la violence faite aux femmes (pénitencier Joliette) depuis 15 ans. Manon Lacroix est l’instigatrice du programme Génération ELLES avec Nathalie Leib. Elle a récemment conçu la brochure et le signet Génération ELLES, en plus d’avoir conçu et co-animé les ateliers pour les filles 12-17 ans à Lachine en compagnie de ses collègues N. Leib, P. Bibeau et C. Savage.
  Pascale Bibeau, criminologue, employée au Centre Option-Prévention T.V.D.S., également chargée de cours en toxicomanies depuis 10 ans à l’Université de Montréal pour les cours suivants : approche motivationnelle, adolescence et conduites à risque, prévention des toxicomanies et animation de groupe. Elle est aussi formatrice en approche motivationnelle auprès du personnel dans les écoles, dans les centres de réhabilitation pour personnes alcooliques et toxicomanes, ainsi qu’à l’Institut Philippe-Pinel.
  Nathalie Leib, contractuelle avec l’organisme, bachelière en communications et journalisme avec un mineur en marketing de l’Université Concordia. Elle a oeuvré pendant 15 ans dans le milieu télévisuel québécois comme recherchiste et cheffe de pupitre pour les émissions Claire Lamarche, Le Grand Journal et Le Petit Journal. En 1998, elle se mérite le Prix Gémeaux en tant que meilleure recherchiste, émission jeunesse. Puis, elle s’installe à Santiago au Chili où elle enseigne l’anglais comme langue seconde dans plusieurs collèges et écoles tout en contribuant à la création d’un centre d’hébergement pour femmes et enfants victimes de violence intrafamiliale. Quatre ans plus tard, elle s’établit au Mexique et collabore avec l’Asociacion de Mujeres de Puerto Vallarta dans la réalisation de projets pour filles-mères et le respect des droits des femmes mexicaines. De retour à Montréal en 2010, elle met à profit sa créativité en contribuant à l’écriture du téléroman La Galère à Radio-Canada, en compagnie de Renée-Claude Brazeau. Elle termine en avril 2012 sa formation auprès de Danie Beaulieu en tant qu’enseignante d’Impact. Finalement, en collaboration avec Manon Lacroix et Pascale Bibeau, elle a rédigé les ateliers pour filles 12-17 ans. Elle co-anime présentement les ateliers destinés aux filles vulnérables 12-17 ans de Lachine avec Manon Lacroix.
  Caroline Savage, 29 ans, s’enrôle dans l’armée à l’âge de 17ans. Elle quitte les Forces armées canadiennes à 22 ans et entame un premier certificat en toxicomanies à l’Université de Montréal. Deux ans plus tard, elle entreprend un second certificat en santé mentale. En cours de route, elle travaille dans les entreprises en animant des kiosques de prévention sur la question tabagique en compagnie de Manon Lacroix dans le cadre de la campagne provinciale Rouler sans fumée. Elle travaille aussi au Centre Le Portage en tant qu’intervenante auprès des femmes. Depuis 2010, elle anime sur une base occasionnelle des ateliers portant sur l’estime de soi auprès des enfants de 6 à 12 ans dans les écoles en compagnie de Manon Lacroix. Plus récemment, elle s’est jointe à notre équipe de bénévoles auprès des filles du programme Génération ELLES. Finalement, l’hiver dernier, elle reprend le chemin des études et amorce un troisième certificat, cette fois, en intervention auprès des jeunes.
  Lyne Larouche a étudié à l’École de coupe et de couture Zig-zag. Son talent est impressionnant et elle excelle dans le domaine de la création de vêtements fabriqués sur mesure. C’est pourquoi elle est aujourd’hui responsable de la gestion et de l’animation des ateliers Au bout des doigts du programme Génération Elles. Son travail est d’aider les jeunes filles à confectionner, à partir de leurs vêtements usagés, des accessoires de tous genres : sac à main, jupe, short, etc. Ces ateliers ont le privilège d’occuper cette clientèle à réaliser avec fierté leur propre  création, ce qui contribue à leur estime et leur confiance en soi. Le sentiment d’appartenance qu’elle développent au sein de ces groupes les aide aussi à se définir et s’éloigner de l’oisiveté et des conflits interpersonnels